Le Conseil Épiscopal Justice et Paix (CEJP TOGO) lance un appel à manifestation d’intérêt pour le recrutement d’un consultant ou d’un cabinet d’études en vue de la réalisation de l’évaluation externe à mi-parcours du projet « Consolidation de l’engagement des leaders d’opinion, des jeunes et des femmes à la citoyenneté et à la solidarité – CECS II », mis en œuvre dans 28 communes du Togo avec l’appui de Misereor et Secours Catholique Caritas France.
Termes de références
Évaluation à mi-parcours du projet « consolidation de l’engagement des leaders d’opinion, des jeunes et des femmes à la citoyenneté et à la solidarité – CECS II » Période : du 5 mai au 18 juin 2025 DIOCÈSES : Aného, Atakpamé, Dapaong, Kara, Kpalimé, Lomé, et Sokodé
A. CONTEXTE
Le Conseil Episcopal Justice et Paix Togo (CEJP TOGO) a obtenu de ses partenaires Misereor et Secours Catholique Caritas France un appui financier pour la mise en œuvre de la phase 2 du Projet « Consolidation de l’engagement des leaders d’opinion, des jeunes et des femmes à la citoyenneté et à la solidarité – CECS II » au sein de 28 communes du Togo.
D’une durée de trois (3) ans, le projet a démarré le 1er octobre 2023 et arrive à terme le 30 septembre 2026. Le but de ce projet est de contribuer à l’amélioration de la cohésion sociale au sein de 28 communes ciblées. Plus spécifiquement, il s’agit dans un premier volet de faire des leaders d’opinion, des jeunes et des femmes, des acteurs qui travaillent pour le vivre-ensemble et la participation citoyenne dans leurs communautés. Le volet 2 du projet entend œuvrer pour le renforcement des capacités d’action du Réseau des Héritiers de Mandela et des Clubs Justice et Paix (HdM & CJP)[1] dans la promotion de l’interculturalité, de l’inter religiosité et de la citoyenneté responsable auprès de leurs pairs.
Les 28 communes ciblées sont soit rurales, soit semi-urbaines. Les populations de ces communes sont confrontées à des problèmes tels que les litiges fonciers opposant des communautés, des familles, des individus ; le problème de limites territoriales des cantons et villages ; les conflits liés à la transhumance, les conflits liés à la chefferie traditionnelle ; le manque de capacité ou de culture civique limitant la participation citoyenne ; l’absence de dialogue entre les autorités et la population…
Les bénéficiaires du projet sont composés de 3360 participants directs répartis en 4 catégories. La première catégorie regroupe 280 leaders d’opinion (maires, conseillers municipaux, imams, prêtres, pasteurs, chefferie traditionnelle, responsables d’ONG locales, représentants locaux des partis politiques, forces de sécurité et de défense, etc.) des 14 nouvelles communes. La deuxième catégorie est constituée de 560 jeunes et femmes (artisans, agropastoraux, Conducteurs de taxi moto, revendeurs-ses, mouvements religieux de jeunes, étudiant-e-s) de 14 nouvelles communes. La troisième catégorie est composée de 420 membres de 14 Comités Locaux de Gouvernance Participative (CLGP) créés au cours de la première phase du projet. La quatrième catégorie est composée de 2100 jeunes du Réseau des Héritiers de Mandela et des Clubs Justice et Paix.
D’octobre 2023 à mars 2025 (18 premiers mois), le projet a permis de former les groupes cibles sur l’approche 3B/4D de la cohésion sociale puis en citoyenneté et civisme ; d’installer 14 nouveaux Comités Locaux de Gouvernance Participative (CLGP) ; de soutenir 28 CLGP dans l’organisation de fora sur la décentralisation, la participation citoyenne et le développement local ; d’organiser des rencontres d’échange et de dialogue entre les autorités, les jeunes et femmes sur les sujets de préoccupation communautaire ; de réaliser des émissions radiophoniques sur la cohésion sociale et la citoyenneté-civisme ; de déployer des initiatives communautaires ludiques et socioculturelles autour de la cohésion sociale et de la citoyenneté-civisme ; d’organiser un atelier d’apprentissage ; d’élaborer un texte organique provisoire du Réseau des HdM & CJP ; d’organiser 7 forums diocésains pour le diagnostic organisationnel du Réseau des HdM & CJP.
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet CECS II, il est prévu une évaluation externe à mi-parcours pour mieux apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et dégager des recommandations pour la poursuite. Les présents termes de référence sont élaborés pour permettre le recrutement d’un consultant en vue de la réalisation de l’évaluation à mi-parcours du projet CECS II.
[1] Le Réseau des Héritiers de Mandela et les Clubs Justice et Paix (HdM & CJP) est un réseau de jeunes (collégiens, lycéens, étudiants, apprentis) et des enfants des écoles primaires, sans distinction de religieuse, de culture ou d’ethnie qui contribuent à l’éducation de leurs pairs sur les valeurs d’interculturalité, d’inter religiosité, de la non-violence, de la responsabilité, et du leadership.
B. OBJECTIFS POURSUIVIS
L’objectif de l’évaluation à mi-parcours du projet CECS II est d’examiner les résultats obtenus après les 18 premiers mois d’exécution afin de fournir aux différentes parties prenantes, des informations sur les progrès réalisés, les obstacles ou menaces éventuelles du projet et de formuler des recommandations qui permettront d’améliorer la qualité des interventions futures durant les 18 prochains mois.
Spécifiquement, l’évaluation à mi-parcours devra permettre de :
1. Ressortir et analyser les progrès réalisés d’octobre 2023 à mars 2025, de même que les atouts et contraintes dans la mise en œuvre du projet ;
2. Apprécier la qualité de la mise en œuvre des interventions en utilisant les critères ci-après :
La pertinence : mesure dans laquelle, les interventions du projet correspondent aux attentes des groupes cibles, aux priorités et aux besoins des communes retenues comme zones d’intervention : (i) analyser les attentes et besoins des parties prenantes au projet ; (ii) analyser le niveau de participation des bénéficiaires formés sur la cohésion sociale et la citoyenneté-civisme et les membres des CLGP aux affaires de leurs communes respectives ; (iii) relever et analyser les effets positifs ou négatifs du projet sur les groupes cibles et les bénéficiaires.
L’efficacité : mesure dans laquelle, les interventions ont atteint ou permettent d’atteindre les objectifs immédiats ou les résultats escomptés du projet : (i) apprécier le niveau d’atteinte des résultats et des indicateurs du projet au moment de l’évaluation ; (ii) Faire l’analyse genre de la chaine des résultats obtenus, les changements observés et les suggestions des bénéficiaires directs et indirects du projet pour la poursuite des activités futures.
L’efficience : mesure dans laquelle les résultats ont été obtenus de la manière la moins coûteuse possible. Mesure dans laquelle les ressources ont été judicieusement converties en résultats tangibles de façon économique : (i) déterminer les activités qui ont été réalisées conformément au chronogramme du projet et celles qui sont en retard ; (ii) analyser le rapport entre l’utilisation des moyens matériels, humains et financiers et les résultats obtenus ; (iii) apprécier le dispositif de capitalisation des informations et des données produites par le projet.
La durabilité/viabilité : mesure dans laquelle les apports d’une intervention sont susceptibles de se maintenir dans le temps une fois que les contributions des partenaires techniques et financières ont pris fin.
3. Recueillir et analyser les principales leçons retenues par les différentes parties prenantes au cours des 18 premiers mois ;
4. Relever et analyser les résultats éventuels inattendus du projet au cours des 18 premiers mois ;
5. Identifier les meilleures pratiques et les stratégies à prendre en compte pour la poursuite du projet ;
6. Formuler des recommandations claires et pertinentes eu égard aux éventuelles insuffisances constatées dans la mise en œuvre du projet.
C. CHAMP DE L’ÉVALUATION
L’évaluation à mi-parcours du projet CECS II s’inscrit dans le cadre du suivi-évaluation dudit projet. Cette évaluation se déroulera dans la zone du projet. L’évaluation sera de nature à la fois quantitative et qualitative. Elle devra permettre de disposer de données complémentaires pour renseigner certains indicateurs du projet tels que :
- Le niveau d’appropriation du projet par les parties prenantes ;
- Le niveau d’amélioration de la cohésion sociale dans les communes cibles du projet ;
- Le niveau d’amélioration du civisme et de l’engagement citoyen ;
- Nombre d’initiatives prises par les bénéficiaires après les formations ;
- Le nombre de Comités locaux de gouvernance participative (CLGP) opérationnels ;
- Le nombre de rencontres de dialogue entre les autorités, les jeunes et les femmes ;
- Le nombre d’initiatives prises par les jeunes et enfants du réseau des Héritiers de Mandela et des Clubs Justice et Paix (HdM & CJP)
D. DESTINATAIRES DE L’ÉVALUATION
Les résultats de l’évaluation seront destinés aux différentes parties prenantes du projet, notamment :
- Le commanditaire : le Secrétariat Permanent et les CEJP diocésains ;
- Les partenaires : Misereor et Secours Catholique Caritas France ;
- Les acteurs institutionnels impliqués : les 28 mairies.
E. CRITÈRES DE L’ÉVALUATION
L’évaluation devra permettre d’apprécier les critères de pertinence, d’efficacité, d’efficience, de durabilité, de participation, de coordination et de redevabilité. À titre indicatif, l’évaluation devra permettre d’apporter des réponses claires et précises aux questions suivantes :
- Les autorités trouvent-elles le projet toujours pertinent dans ses objectifs et résultats escomptés ?
- En quoi les activités de coordination nationale et diocésaine du projet renforcent-elles la synergie d’action avec les différentes parties prenantes ?
- Les intrants (financiers, humains, techniques et matériels) investis ont-ils été utilisés de façon optimale pour atteindre les produits/résultats ?
- Dans quelle mesure, les formations déployées ont-elles contribué à améliorer la cohésion sociale et l’engagement citoyen dans les communes ciblées ?
- Quels sont les résultats concrets du projet sur les groupes cibles et les bénéficiaires ?
- Les changements observés dans les communes sont-ils imputables aux seuls effets du projet ou plutôt sont-ils le résultat de plusieurs actions complémentaires ?
- Les résultats du projet sont-ils durables sur le long terme ? Si non, que faudra-t-il faire pour assurer cela ?
- Les résultats obtenus sont-ils en adéquation avec les investissements consentis ?
- Quels sont les acquis du projet à mi-parcours ?
- etc.
F. RÉSULTATS ATTENDUS
La mission d’évaluation sera sanctionnée par un rapport de fin de mission qui capitalise les acquis du projet et formule des recommandations pertinentes pour la poursuite du projet par les différentes parties prenantes. Les résultats concrets attendus de la mission sont les suivants :
- Les progrès réalisés d’octobre 2023 à mars 2025, les atouts et les contraintes de la mise en œuvre du projet sont relevés et analysés ;
- Les interventions du projet sont appréciées du point de vue de la pertinence, de l’efficacité et de l’efficience ;
- Les principales leçons tirées au cours des 18 premiers mois, sont capitalisées ;
- Les résultats éventuels inattendus du projet au cours des 18 premiers mois sont relevés et analysés ;
- Les meilleures pratiques et les stratégies à prendre en compte pour la poursuite du projet sont identifiées et analysées ;
- Des recommandations pour la poursuite du projet sont formulées à l’endroit des différentes parties prenantes.
G. LIVRABLES DE LA MISSION
Les livrables attendus de la mission sont :
- Un rapport provisoire (rapport rédigé en langue française), dans le canevas validé par CEJP TOGO sera livré en version électronique ;
- Un rapport final intégrant les observations et amendements des commanditaires ;
- Un plan de mise en œuvre des recommandations.
H. MÉTHODOLOGIE
La méthodologie détaillée de l’évaluation sera proposée par l’évaluateur en accord avec le commanditaire. La méthodologie qui sera proposée devra viser une analyse critique de la performance du projet à travers les résultats atteints, les changements obtenus, les dynamiques impulsées et les apprentissages acquis. L’évaluateur se basera sur les données relatées dans les rapports d’exécution du projet et sur les données empiriques (informations qu’il collectera sur le terrain). Un échantillon représentatif des groupes cibles et des bénéficiaires du projet sera constitué dans chaque diocèse, à cet effet. À titre indicatif, l’évaluateur pourra rencontrer dans chaque diocèse :
- les membres du staff du CEJP diocésain ;
- le pool de formateurs diocésains ;
- un groupe de formés, membres de Comités Locaux de Gouvernance Participative ;
- Un groupe de leaders communautaires formés ou impliqués dans le projet ;
- les autorités locales : maires, conseillers municipaux, etc.
- Responsables des radios partenaires ; etc.
I. LIEUX DE LA MISSION
La mission d’évaluation se déroulera dans les 7 diocèses du Togo, plus spécifiquement dans les 28 communes ciblées comme zones d’intervention du projet CECS II :
DIOCÈSES | NOUVELLES COMMUNES | ANCIENNES COMMUNES | ||
1 | 2 | 3 | 4 | |
DAPAONG | Tandjoaré 1 (Tandjoaré) | Tandjoaré 2 (Nano) | Tone 1 (Pana) | Tone 4 (Korbongou) |
KARA | Binah 1 (Pagouda) | Binah 2 (Kétao) | Dankpen 1 (GuérinKouka) | Dankpen 2 (Namon) |
SOKODE | Assoli 1 (Bafilo) | Assoli 2 (Alédjo) | Tchaoudjo 2 (Lama-Tessi) | Tchaoudjo 3 (Aléhéridè) |
ATAKPAME | Amou 1 (Amlamé) | Amou 3 (Hihéatro) | Ogou 1 (Atakpamé) | Ogou 2 (Datcha) |
KPALIME | Agou 1 (Agou Tavié) | Agou 2 (Amoussoukopé) | Kloto 2 (Lavié) | Kloto 3 (Kouma Konda) |
LOME | Avé 1 (Kévé) | Avé 2 (Noépé) | Zio 1 (Tsévié) | Zio 3 (Agbélouvé) |
ANEHO | Vo 3 (Dzrékpo) | Vo 4 (Akoumapé) | Bas- Mono 1 (Afagnan) | Bas- Mono 2 (Attitogon) |
La mission débutera le 5 mai et prendra fin le 18 juin 2025 au plus tard avec remise du rapport final. Au total, 45 jours seront consacrés à la réalisation de la mission par l’évaluateur externe. Le chronogramme détaillé de la mission sera établi en concertation avec l’évaluateur externe après validation de la méthodologie.
J. ROLES ET RESPONSABILITES
Le Secrétariat Permanent du CEJP TOGO a principalement la responsabilité de :
- Définir le cahier de charge de l’évaluateur ;
- Mettre à la disposition de l’évaluateur tous les moyens et la documentation nécessaires pour le travail ;
- Convenir avec l’évaluateur de la méthodologie, du chronogramme de la mission et des horaires de travail ;
- Fournir des orientations et des conseils tout au long de la mission et en cas de sollicitation de l’évaluateur ;
- Répondre aux questions de l’évaluateur ;
- Apporter son appui technique et son expertise pour la révision et l’approbation des outils de collecte et des livrables ;
- Assurer le contrôle qualité des livrables notamment du rapport final de l’évaluation.
Les CEJP diocésains ont la responsabilité de :
- Fournir des réponses aux questions de l’évaluateur ;
- Préparer le terrain en sollicitant des rendez-vous auprès des acteurs à rencontrer dans les communes ;
- Mobiliser les acteurs locaux pour les entretiens avec l’évaluateur ;
- Mettre à la disposition de l’évaluateur toute documentation et information nécessaire à l’accomplissement de la mission.
L’évaluateur a la responsabilité de :
- Veiller au bon déroulement de la mission conformément aux termes de référence et l’offre financière convenus ;
- Veiller à la confidentialité des informations recueillies dans le cadre de la mission ; en aucun cas, il ne peut divulguer ces informations et données sans l’aval du CEJP TOGO ;
- Concevoir et faire valider les outils d’évaluation par le CEJP TOGO ;
- Respecter les délais impartis ;
- S’assurer de la qualité du rapport final de la mission d’évaluation à mi-parcours ;
- Restituer à la fin de la mission tout matériel ou bien mis à sa disposition pour les besoins de la mission ;
- Respecter les dispositions du manuel de procédures administratives et financières du CEJP TOGO ;
- Respecter la politique de sauvegarde du CEJP TOGO et les textes légaux en vigueur au Togo.
NB : Les processus et politiques du CEJP TOGO reflètent son engagement à protéger les enfants et les adultes vulnérables contre les abus et l’exploitation. L’évaluateur externe qui sera retenu devra accepter de signer et de respecter la clause de sauvegarde puis le code de conduite en matière de sauvegarde des fournisseurs et prestataires de service du CEJP TOGO.
K. PROFIL DU CONSULTANT
L’évaluateur externe doit :
- Être titulaire d’un diplôme équivalent au BAC + 4/5 ou plus en sciences sociales (économie, sociologie, suivi-évaluation, droit, ou autre) ;
- Avoir des connaissances solides en matière de gestion du cycle du projet ;
- Avoir une maitrise des outils de planification et de suivi évaluation ;
- Maitriser les outils d’évaluation participative ;
- Avoir une expérience avérée de 7 ans au moins dans le domaine du suivi-évaluation ;
- Avoir une expérience de collecte de données en ligne via les applications telles que Kobocollect, Atlan Collect, Google Forms, ou autre.
- Avoir une expérience de travail avec des acteurs communautaires et en milieu rural ;
- Avoir d’excellentes compétences en rédaction et en communication en français ;
- Avoir la maitrise de l’utilisation de l’outil informatique ;
- La connaissance des langues locales (Ewé, Mina, Ifè, Kotokoli, Kabyè, Moba) serait un atout.
L. CONSTITUTION DU DOSSIER A SOUMETTRE
Le dossier de candidature comprendra, une offre technique et une offre financière :
L’offre technique est composée d’un dossier administratif (ensemble des documents d’identité et des attestations justifiant la qualification, une attestation d’enregistrement en tant que consultant, une attestation de régularité fiscale) et d’un dossier technique (une proposition de la méthodologie, une description des résultats SMART, une proposition de calendrier incluant les différentes étapes de la mission telles que : la revue documentaire, l’élaboration des outils de collecte de données, l’atelier de cadrage méthodologique et de validation de la méthodologie et des outils, la collecte de données sur le terrain, l’analyse des données, la rédaction du draft du rapport , la restitution du draft de rapport suivie de la validation, l’intégration des amendements, la relecture et la soumission du rapport final).
L’offre financière comporte toutes les dépenses liées à la réalisation de l’évaluation par le consultant ; les dépenses de collecte de données sur le terrain y comprises.
L’offre technique et l’offre financière doivent être envoyées dans des plis séparés. Chaque enveloppe devra contenir l’original et trois copies sous plis séparés et fermés. Les deux enveloppes séparées seront contenues dans une grande enveloppe qui devra porter les mentions « Sélection d’un consultant pour l’évaluation à mi-parcours du projet CECS phase 2 » et en haut à droite, « A n’ouvrir qu’en commission ». Les plis seront envoyés au siège du CEJP Togo sis à Hédzranawoé, dans l’enceinte de la Conférence des Evêques du Togo (C.E.T.), au plus tard le 18 avril 2025 à 16H00. Les offres peuvent aussi être envoyées par mail. Le cas échéant, les offres techniques et financières seront envoyées en 2 fichiers distincts sous format PDF aux adresses contact@cejptogo.org et justiceetpaixtogo@gmail.com.